Le terme électrohypersensibilité (EHS) n’est qu’une caricature ou un travestissement de nom parce qu’il s’agit d’un empoisonnement à l’électricité artificielle causé par la sur-pollution électromagnétique environnementale (pollution par agents physiques). Les rayonnements non-ionisants sont toxiques pour les cellules et leurs effets s’opèrent par accumulation : une exposition faible mais chronique est plus nocive qu’une exposition grande et ponctuelle (même effet en réduisant la puissance et en augmentant de même facteur la durée).
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C’est un empoisonnement parce que les normes sont faites pour les machines, pas pour les hommes : Les normes ne tiennent aucunement compte des effets biologiques. Les normes ne tiennent compte que des effets thermiques (chauffage d’1° à 6 min). Les effets biologiques commencent en dessous des normes des effets thermiques.
Syndrome des micro-ondes (hyperfréquences) ou maladie des ondes
Les effets biologiques des champs électromagnétiques artificiels étaient officiellement connus dès les années 70, pourtant ils n’ont jamais été pris en compte pour les normes :
Non seulement l’électricité n’est pas extérieure à la biologie, mais de plus la bio électricité est le support du vivant (vie biologique). Le vivant a une réponse spécifique avec effets biologiques aux champs électromagnétiques artificiels. Les gens qui ne croient pas être concernés par la pollution électromagnétique (pollution par agents physiques) sont gravement dans l’erreur car les effets biologiques sont les mêmes pour tous (empoisonnement par l’électricité). Les effets biologiques impliquent les maladies neurologiques, maladies neuro-dégénératives, maladies immunitaires, cancers, maladies auto-immunes, maladies cardiaques, maladies endocriniennes, maladies métaboliques, maladies diabétiques.
1° Protons
Les champs électromagnétiques artificiels (électricité/champs électriques, champs magnétiques/champs électromagnétiques) perturbent le déplacement lent des protons (particules chargées électriquement dans les noyaux des atomes) en les faisant vibrer sur place.
Preuve que les rayonnements « non-ionisants » agissent au cœur même de la matière, sur les électrons des atomes : Des impulsions micro-ondes (rayons « non-ionisants » d’hyperfréquences 300 MHz-300GHz) sont utilisées pour manipuler l’état quantique des Qbits : les impulsions micro-ondes basculent les Qbits pour les placer en état de superposition quantique.
2° Mitochondries
Les champs électromagnétiques artificiels perturbent la lecture du génome et détruisent l’ADN des mitochondries (centrales d’énergie des cellules), qui n’ont pas de système de réparation de leur ADN, ce qui fait mourir les cellules.
3° Echanges d’atomes d’oxygène
Les champs électromagnétiques artificiels perturbent les échanges d’atomes d’oxygène rendant la respiration cellulaire déficiente par manque d’hème qui est la porphyrine liée au fer et à l’oxygène des cellules, composant central des enzymes qui transportent les électrons des nutriments vers l’oxygène pour que les cellules puissent extraire de l’énergie, induisant ainsi une lente asphyxie cellulaire.
4° Canaux calciques
Les champs électromagnétiques artificiels ouvrent les canaux calciques des cellules, les intoxiquant.
Pall ML. Electromagnetic fields act via activation of voltage-gated calcium channels to produce beneficial ir adverse effects. J Cell Mol Med. 2013 Aug;17(8):958-965.
Panagopoulos DJ, Karabarbounis A, Yakymenko I, Chrousos GP, Champs électromagnétiques d’origine humaine : dysfonctionnement des canaux ioniques par oscillation forcée et voltage-dépendant, stress oxydatif et dommages à l’ADN. October 6, 2021. Inter. J. Oncology. https://doi.org/10.3892/ijo.2021.5272
Résumé : L’exposition d’animaux/échantillons biologiques à des champs électromagnétiques (CEM) d’origine humaine, en particulier dans la bande de fréquences extrêmement basses (ELF) et dans la bande de fréquences micro-ondes/radio (RF) qui est toujours associée aux ELF, peut endommager l’ADN. Les dommages à l’ADN sont liés à la mort cellulaire, à la stérilité et à d’autres pathologies, dont le cancer. L’exposition aux ELF provenant de lignes électriques à haute tension et l’exposition aux RF complexes provenant d’antennes/appareils de communication sans fil sont liées à un risque accru de cancer. Presque tous les CEM RF d’origine humaine comprennent des composants ELF sous forme de modulation, d’impulsion et de variabilité aléatoire. Ainsi, en plus de la polarisation et de la cohérence, l’existence des ELF est une caractéristique commune à presque tous les CEM d’origine humaine. La présente étude examine les dommages à l’ADN et les effets connexes induits par les CEM d’origine humaine. Le mécanisme d’oscillation forcée des ions pour le déclenchement irrégulier des canaux ioniques voltage-dépendants sur les membranes cellulaires par des CEM polarisés/cohérents est décrit en détail. Le dysfonctionnement des canaux ioniques perturbe les concentrations ioniques intracellulaires, qui déterminent l’équilibre électrochimique et l’homéostasie de la cellule. La présente étude montre comment cela peut entraîner des dommages à l’ADN par surproduction d’espèces réactives de l’oxygène/de radicaux libres. Ainsi, une image complète est fournie de la manière dont l’exposition aux CEM d’origine humaine peut effectivement entraîner des dommages à l’ADN et des pathologies associées, y compris le cancer. De plus, il est suggéré que les effets biologiques non thermiques attribués aux CEM RF sont en fait dus à leurs composants ELF.
5° Radicaux libres
Les champs électromagnétiques artificiels engendrent des radicaux libres (espèces réactives oxygénées) très toxiques qui programment la mort cellulaire prématurée.
Lupke M, Rollwitz J, Simko M. Cell activating capacity of 50 Hz magnetic fields to release reactive oxygen intermediates in human umbilical cord blood-derived monocytes and in Mono Mac 6 cells. Free Radic Res. 2004;38:985-993.
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Low-intensity electromagnetic fields induce human cryptochrome to modulate intracellular reactive oxygen species. PLoS Biol. 2018 Oct 2;16(10):e2006229.
6 ° Barrière hémato-encéphalique
Les champs électromagnétiques artificiels (électricité/champs électriques, champs magnétiques/champs électromagnétiques) ouvrent la barrière hémato-encéphalique, empoisonnant le cerveau en y laissant entrer des substances nocives.
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7° Globules rouges en rouleaux
Les champs électromagnétiques artificiels agglutinent les globules rouges en rouleaux amoindrissant ainsi la circulation sanguine.
Sang vivant et Electrosmog [Globules rouges en rouleaux sous exposition aux CEM]
8° Ondes cérébrales, glande pinéale
Les champs électromagnétiques artificiels modifient les ondes cérébrales et le fonctionnement de la glande pinéale (rythme veille sommeil, mélatonine/sérotonine …). A cause des ondes électromagnétiques le cerveau croit qu’il fait jour pendant le sommeil d’où un sommeil non réparateur et les conséquences négatives sur le cerveau (mélatonine, radicaux libres / stress oxydant, dystonie neuro-végétative …).
Wilson BW, Wright CW, Morris JE, Buschbom RL, Brown DP, Miller DL, Sommers-Flannigan R, Anderson LE. Evidence for an effect of ELF electromagnetic fields on human pineal gland function. J Pineal Res. 1990;9(4):259-269.
9° Vieillissement accéléré
Les champs électromagnétiques artificiels provoquent un vieillissement cellulaire accéléré.
Ces ondes qui nous feront mourir un jour
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Sonzogni, L. ; Al-Choboq, J. ; Combemale, P. ; Massardier-Pilonchéry, A. ; Bouchet, A. ; May, P. ; Doré, J.-F. ; Debouzy, J.-C. ; Bourguignon, M. ; Dréan, Y.L. ; et al. Les fibroblastes cutanés d’individus auto-diagnostiqués comme électrosensibles révèlent deux sous-ensembles distincts avec une nucléoshuttling retardée de la protéine ATM en commun. Int. J. Mol. Sci. 2025, 26, 4792. doi.org/10.3390/ijms26104792
10° Intolérance
Les champs électromagnétiques artificiels (électricité/champs électriques, champs magnétiques/champs électromagnétiques) provoquent une intolérance par accumulation comparable à l’effet d’une allergie.
Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)
1ère phase de début : Symptômes neurologiques : maux de tête, acouphènes, anomalies de la sensibilité superficielle et /ou profonde, avec sensation de douleurs cutanées (dysesthésies, causalgies) ou musculaires (myalgies) dans les parties du corps exposées aux champs électromagnétiques, faux vertiges, plus rarement de vertiges vrais de type Ménière, troubles de l’attention et de la
concentration et une perte de la mémoire immédiate, encore appelée « de fixation ». Symptômes végétatifs sympathicomimétiques : oppression thoracique, épisodes de tachycardie ou de tachyarythmie et troubles digestifs à type de nausées, douleurs abdominales, diarrhée ou constipation, l’ensemble pouvant conduire à la survenue de véritables malaises, sans perte de connaissance.
2ème phase d’état : insomnie, fatigue chronique, éventuellement dépression, éventuellement irritabilité et violence verbale, parfois tendance suicidaire,
dans tous les cas les symptômes inauguraux peuvent réapparaître de façon aiguë ou subaiguë à chaque fois que le malade est réexposé à des champs électromagnétiques y compris de très faibles intensités.
3ème phase d’évolution : chez l’enfant, et plus tard chez l’adolescent possibilité d’apparition retardées d’anomalies psychologiques majeurs se manifestant par de la dyslexie, des troubles de l’attention, de la concentration et de la mémoire de fixation à l’école, auxquels peuvent s’ajouter des troubles du comportement alors totalement incompris par les parents et les enseignants ; l’intolérance peut devenir telle que l’enfant ne pouvant plus pénétrer dans sa
classe, refuse d’aller à l’école, sans qu’on en sache alors précisément les raisons et si on les connaît, s’il y est exposé à des champs électromagnétiques même de faibles amplitudes. L’existence du Wifi et la proximité d’antennes relais sont ici majoritairement concernés. Chez ces enfants, en cas d’exposition persistante, le risque ultérieur de psychose ne peut être exclu ; des risques existent en cas d’exposition des femmes enceintes à de tels champs électromagnétiques, avec pour possible conséquence, la possibilité d’avortement spontané, l’existence chez leur bébé de manifestations psychoneurologiques graves, actuellement en cours d’études par différentes équipes dans le monde.
Chez l’adulte l’évolution peut se faire soit vers une régression complète des symptômes en cas de sevrage électromagnétique précoce ; soit vers un syndrome confusionnel d’intensité variable associant perte de mémoire, survenue d’ »absences »* et désorientation temporospatiale ; soit vers un véritable état de démence pouvant s’apparenter à une maladie d’Alzheimer du sujet jeune. *Les absences sont des pertes transitoires de la mémoire et même de la connaissance dues à différentes causes dont un trouble passager de l’irrigation cérébrale. On les observe en particulier dans « le petit mal » épileptique. Il s’agit alors d’une brève suspension de la conscience avec interruption de toute activité.
Electrohypersensibilité (EHS) – empoisonnement à l’électricité artificielle
Les symptômes et phases de l’électrohypersensibilité correspondent à ceux du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) ci-dessus. L’électrohypersensibilité est une intolérance de plus en plus grande à de plus en plus faibles champs électromagnétiques artificiels par abaissement du seuil de tolérance par le cerveau à cause de la pollution électromagnétique (par agents physiques) ce qui est similaire à un empoisonnement environnemental.
Dans le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) le cerveau réagit à la pollution ; dans l’électrohypersensibilité (EHS) le cerveau est empoisonné. Il existe des EHS faibles ou modérés, et des EHS graves ou sévères. Les symptômes régressent en cas de soustraction à l’exposition à la pollution électromagnétique (ce qui devient de plus en plus difficile) et par mise des pieds nus à la terre.
Tout le monde est électrosensible (sensible à l’électricité), mais tout le monde n’est pas électrohypersensible, cependant les effets biologiques sont les mêmes pour tous : l’électrohypersensibilité n’est qu’une pathologie parmi d’autres causées par l’électricité (au moins en partie avec les autres pollutions) telles que les maladies neurologiques, maladies neuro-dégénératives, maladies immunitaires, cancers, maladies auto-immunes, maladies cardiaques, maladies endocriniennes, maladies métaboliques, maladies diabétiques.
Symptômes de l’électrohypersensibilité
- mal de tête, gêne et/ou douleur arrière de la tête, tempes, raideur de la nuque, gênes dans et/ou autour de la tête, brouillard dans et/ou autour de la tête, sensation de pression dans et/ou autour de la tête, sensation de casque
- photophobie, sensibilité oculaire à la lumière
- nausées, troubles digestifs, acidité/reflux gastrique, mal de ventre, diarrhée/constipation
- acouphènes, tintement/sifflement/bourdonnements d’oreille, audition d’ultrasons, hyperacousie (hypersensibilité au bruit)
- insomnies, sommeil non-réparateur
- fatigue chronique, épuisement
- troubles neurologiques, spasmes musculaires, raideur/faiblesse ou douleurs musculaires, dysesthésies (altération de sensibilité), fourmillements/picotements tête/membres, sensations électriques
- troubles de l’équilibre, sensation de malaise, instabilité/vacillement, tangage, sensation de perte d’équilibre, étourdissements, faux vertiges, vertiges
- possibles tremblements si exposition aigüe /prolongée ou accumulée
- sensations de vagues, pulsations, bombardements similaires au crachin noir et blanc frappant un tube cathodique
- troubles cutanés, rougeurs, sensation de peau fragile/fine/sèche, sensations de brûlure, brûlures
- palpitations, troubles de rythme cardiaque, sensation d’oppression
- troubles cognitifs, difficulté ou déficience temporaire de l’attention, concentration, mémoire, réflexion, orientation
- irritabilité, agitation, affaiblissement des nerfs au sens propre neurologique dû à la blessure des nerfs causée par l’électricité, déficience temporaire de résistance nerveuse et/ou émotionnelle, sensation de se vider nerveusement, pseudo angoisse/anxiété, pseudo crise d’angoisse/anxiété ou plutôt besoin impérieux de quitter l’endroit exposé
- intolérance aux installations électriques
- symptômes immédiats à l’exposition et/ou différés (lendemain, surlendemain voir plus) de l’exposition.
- intolérance chimique possiblement associée, aux parfums, peintures, produits chimiques, etc.
- possible sensation de syndrome grippal chronique
- troubles régressant si soustraction à la pollution électromagnétique
Belpomme D., Irigaray P. « L’électrohypersensibilité en tant que trouble pathologique neurologique nouvellement identifié et caractérisé : comment le diagnostiquer, le traiter et le prévenir », 2020, International Journal of Molecular Sciences : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7139347/
Traduction française : https://www.cjoint.com/c/JFnss01rozG
Extraits : « … ces patients [malades atteints d’EHS] présentent objectivement une véritable pathologie somatique et non comme l’affirment certains, une pathologie d’origine purement psychologique ».
« … l’EHS se caractérise par l’apparition de symptômes neurologiques …maux de tête, … acouphènes, … hyperacousie, … vertiges, … troubles de l’équilibre, anomalies de la sensibilité superficielle et/ou profonde, … fibromyalgie, … dysfonctionnement neurovégétatif, … réduction des capacités cognitives, … perte de mémoire immédiate, … déficit d’attention et de concentration, … éventuellement épisodes de désorientation spatio-temporelle. … associées à une triade symptomatiques … d’insomnie, de fatigue chronique, et de tendance dépressive … en plus d’une labilité émotionnelle et parfois d’irritabilité… un signe de Romberg (test objectif de posture) dans 5% des cas … lésions cutanées dans 16% des cas ».
« Dans l’ensemble, bien que la littérature scientifique considère que nombre de ces symptômes sont non-spécifiques, le tableau clinique observé fait état de leur association et d’une fréquence caractéristique, suggérant fortement que l’EHS peut en fait être reconnue et identifiée comme une pathologie neurologique typique, comme … pour la MCS et l’association EHS-MCS ».
« … l’EHS, la MCS et l’association EHS-MCS peuvent avoir dans leur genèse un mécanisme physiopathologique … impliquant une inflammation de bas grade »
« … l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique … réponse auto-immune contre la substance blanche du système nerveux … conséquence de l’apparition d’un stress oxydatif/nitrosatif induit par les champs électromagnétiques ou les produits chimiques »
« … diminution de biodisponibilité métabolique de la mélatonine en raison de l’augmentation de la consommation et de l’utilisation de celle-ci en tant que piégeur de radicaux libres »
« … l’EHS est associé à différents profils anormaux des neurotransmetteurs »
« … chez les … EHS une diminution de l’indice de pulsatilité moyen de l’une voire des deux artères cérébrales moyennes »
« … [dans les] lobes temporaux, … une diminution significative de l’indice pulsométrique moyen dans la zone capsulo-thalamique, qui correspond au système limbique et au thalamus »
« … le BBF [flux sanguin cérébral] dans les artères cérébrales moyennes peut être anormal ».
« … ce qui peut mener à un BBF [flux sanguin cérébral] diminué et/ou un métabolisme diminué dans les lobes pré-frontaux »
« … taux d’histamine élevé dans le sang »
« … augmentation des protéines S100 B et des biomarqueurs de stress oxydant »
« … les … EHS présentent souvent un important déficit … en vitamine D et en zinc … »
« … l’EHS peut évoluer vers une maladie neurodégénérative … »
« … l’EHS et la MCS semblent être associés à un état pathologique neurologique irréversible … »
« … ces affections ne peuvent pas être considérées comme de simples altérations fonctionnelles, mais … comme de véritables affections pathologiques … »
« … extension possible de la neuro-inflammation dans les lobes frontaux et possiblement dans l’hypothalamus ».
« … le terme d’hypersensibilité … caractérisé par une diminution du seuil de tolérance environnementale à un tel point critique que les patients deviennent intolérants aux facteurs de stress de faible intensité … comme … chez les … allergiques ».
« … les patients deviennent intolérants à de faibles intensités de CEM [champs électromagnétiques] ».
« … les … EHS peuvent être sensibles à certaines fréquences sans l’être nécessairement à d’autres … »
« … les effets biologiques … chez les … EHS … dus aux champs électromagnétiques … pulsés et polarisés émis par les technologies électriques ou électromagnétiques sans fil ».
« … en moyenne environ 3 % à 5 % de la population … sont en réalité aujourd’hui atteints d’EHS dans le monde ».
« … l’EHS doit donc être désormais reconnue comme une nouvelle affection neurologique identifiée et caractérisée au plan physiopathologique. Comme l’EHS est devenue un véritable fléau sanitaire frappant des millions de personnes dans le monde, cette affection devrait être reconnue comme telle par l’OMS, et donc inclue dans la classification internationale des maladies (CIM) ».
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