- Note préalable de l’auteur – ElectroHyperSensible (EHS)
1. Électrosensibilité, intolérance aux champs électromagnétiques et ÉlectroHyperSensibilité – 1.1. Distinction entre intolérance aux champs électromagnétiques et électrosensibilité – 1.2. Définition du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) – 1.2.1. Diagnostic du SICEM – 1.3. Symptômes neurologiques et non pas psychologiques ou psychiatriques – 1.4. Évolution – 1.5. Ce que sont l’électrohypersensibilité (EHS) et la sensibilité chimique multiple (MCS) – 1.6. L’électrohypersensibilité, nouvelle affection neurologique – 1.7. Genèse et progression de l’électrohypersensibilité – 1.8. Symptômes communs de l’électrohypersensibilité ; 1.9. Syndrome des micro-ondes ou syndrome des hyperfréquences ; 1.10. Les malades électrosensibles sont abandonnés et niés par les pouvoirs publics – 1.11. Électrohypersensibles nouveaux parias de la société.
2. Articles sur l’électrosensibilité
3. Études scientifiques – 3.1. Publications d’études scientifiques ; 3.2. Ouverture de la barrière hémato-encéphalique par les champs électromagnétiques artificiels ; 3.3. Rapport BioInitiative 2012 VO Anglais – méta-analyse de centaines d’études ; 3.4. Action des champs électromagnétiques sur la santé – Compilation de références d’études scientifiques 1995 – 2016 ; 3.5. Quelques autres études ; 3. 6. Electrohypersensibilité : Pistes – Hypothèses – 3. 6.1. Hypothèses des mécanismes – 3.6.2. Système limbique, thalamus et hypothalamus – 3.6.3. Mutations de l’ADN – 3.6.4. Épigénétique -3.6.5. Électroréception et magnétoréception – 3.6.6. Dysfonction de l’ion calcium causé par les champs électromagnétiques artificiels.
4. Vidéos
5. Sites
6. Alternatives. Normes, fibre, filaire : 6.1. Electropollution même en filaire et hautes fréquences insoupçonnées
7. Mensonge public délibéré et ignorance coupable sur l’électrosensibilité
8. Traitements – Se protéger des ondes EM artificielles ; Traiter le cerveau ; Consultation de médecine environnementale
Note préalable de l’auteur – ElectroHyperSensible (EHS)
Je suis ElectroHyperSensible (EHS) et MultiChimicoSensible (MCS) moins sévérement, diagnostiqué depuis 2018, mais j’ai été rendu progressivement malade par les Champs ÉlectroMagnétiques (CEM) artificiels ou Electro-pollution (voir Pollution Électromagnétique 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels), depuis les années 90. Je sais que les mensonges et inepties sont répandus contre la réalité de la très grave augmentation de la pollution électromagnétique catastrophique pour la santé. La pollution électromagnétique (Champs ÉlectroMagnétiques artificiels) est un empoisonnement cellulaire à petit feu au sens propre. La pollution électromagnétique est devenue encore plus catastrophique depuis l’arrivée des compteurs électriques, gaz et eau, communiquants avec des radio-fréquences et des hyperfréquences (Micro-ondes), (Voir Pollution Électromagnétique 4 : Compteurs communicants radiatifs Linky, Gazpar, Aquarius…), et la 5 G (voir Pollution Électromagnétique 5 : La 5 G). Maintenant il y a partout des antennes-relais, des faisceaux hertziens, des pylônes (Faisceaux hertziens+Antennes relais), des tours hertziennes (méga-pylônes et giga-pylônes), etc., et sont déjà en train d’être mis en place des cellules d’antennes-relais 5 G et des satellites 5 G. Il n’y a plus aucune vraie zone blanche (zone sans champs électromagnétiques artificiels). Pour un vrai ElectroHyperSensible, la vie normale est aujourd’hui devenue difficile dans beaucoup d’endroits, même en rase campagne où il y a des antennes-relais tous les 4 à 5 kms quasiment partout et de l’électricité domestique avec radiofréquences.
Symptômes personnels – Symptômes spécifiques dus à l’exposition aux champs électromagnétiques artificiels le jour même, le lendemain, le surlendemain ou même pendant plusieurs jours, ou quasi en permanence pour des expositions spécifiques.
1 – Maux de tête ; sensation de serrements de la tête, douleur/lourdeur de l’arrière de la tête (occipitale), douleur des côtés de la tête (temporale), chaleur de la tête, gêne autour et/ou dans la tête, distension (sensation de pression de l’intérieur vers l’extérieur) dans la tête, « brouillard » autour de la tête, sensation de « pulsation » du cerveau et/ou dans le cerveau.
2 – Faux vertiges quotidiens (sensations vertigineuses réelles de tête qui tourne mais pas le décorum), sensations de chute (typiques de la dystonie neuro-végétative : voir Pollution Électromagnétique 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels), flottement, sensation d’instabilité, étourdissements, vertiges ; jambes en coton, sensation d’être vidé, sensations de décharges dans le cerveau, et dans les membres ; fourmillements, engourdissements ; excitabilité-nervosité, irritabilité sans cause, envie de partir vite en courant (en réalité besoin de quitter immédiatement le lieu exposé empoisonnant). Faux vertiges/sensations vertigineuses déclenchés en remuant les yeux.
3 – Acouphène (sifflement de genre « ultra son »-tintement et faible bourdonnement vibratoire d’oreille gauche, variable selon expositions) : L’acouphène est aussi un symptôme spécifique à l’exposition aux champs électromagnétiques artificiels le jour même quasi en temps réel, augmentant ou diminuant selon les expositions.
Grande sensibilité aux bruits (comme très amplifiés résonnant dans le cerveau) à certains moments.
4 – Luminescence multicolore scintillante unilatéral/bilatéral (typiques des champs électromagnétiques ionisant l’atmosphère : voir Chemtrails – trainées chimiques dans le ciel), s’estompant en environ une demi heure, douleurs derrière les yeux, yeux qui piquent et qui brûlent, intolérance passée à la lumière artificielle (néons, etc.), photophobie quelquefois, intolérance à la lumière des écrans.
5 – Difficulté d’attention, difficulté de mémoire immédiate pour trouver les mots ou se rappeler de choses quotidiennes banales.
6 – Fatigue chronique, sensation d’épuisement, sensation d’amenuisement ; sensation de faiblesse musculaire, spasmes musculaires.
7 – Sensation oppressive thoracique ; Sensation de rythme cardiaque qui s’interrompt et puis reprend
8 – Difficulté d’endormissement, étourdissements à l’endormissement (troubles mélatonine), insomnie de réveil(s), fatigue matinale et sensation de sommeil non-réparateur
9 – Sensation de brûlure à la surface de la peau, fourmillements, sensation de fragilisation de la peau semblant plus fine/plus transparente/plus pâle et comme du plastique
10 – Nausées (surtout avec exposition au Wifi), lourdeur/distension à l’épigastre, petite acidité gastrique, petites difficultés digestives
11 – Sensation de syndrome grippal ; rhinite chronique/sécheresse nasale
12 – Intolérance à certains parfums, lessives, savons, peintures
13 – Intolérance aux appareils électriques, par exemple, brûlure ressentie et troubles avec des plaques de cuisson à induction, boites wifi, antennes relais et pylônes (antennes-relais+faisceaux hertziens) mêmes inconnus et invisibles, endroits avec CPL et/ou linky, etc., et aux appareils sur batterie (perceuse, meuleuse, perforateur, etc.) et moteur à essence (rotofil, tronçonneuse, etc. en 2 temps, tondeuse etc. en 4 temps) à cause de l’allumage électronique du moteur produisant un fort champ magnétique.
Maladies liées / causées par les CEM : adénome surrénalien ; adénome parathyroïdien & calculs rénaux bilatéraux. Ces trois pathologies sont en rapport direct avec la dysfonction de l’ion Calcium causée par les CEM artificiels (voir Pollution Électromagnétique 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels) mais cela est totalement ignoré ou méprisé par les « grands » médecins « spécialistes » des hôpitaux. «Y a pas d’ondes ici» m’a répondu un médecin spécialiste à l’hôpital Pompidou à Paris : j’y ai mesuré 800 μW/m² ! (Fréquences 27 MHz – 2,7 GHz).
Allergie ++ durant 4 mois au contact de savon de nettoyage des fournitures d’hôpitaux.
Conséquences : Vie rendue difficile, difficulté pour travailler, pour se déplacer, donc difficulté sociale et économique + dépenses ruinantes d’appareils de mesures et de protections électromagnétiques qui ne servent quasiment à rien, et grande difficulté ou presque impossibilité de se loger sainement même à la « campagne », car il n’y a aucune vraie zone blanche sans pollution électromagnétique (seulement « des poches » entre 2 ou 3 antennes relais), ni en France ni dans les autres pays européens ; des faisceaux hertziens croisés partout, des antennes relais partout, du Wifi quasi partout, des téléphones portables quasi partout, de la pollution électromagnétique des voisins (téléphones, wifi, linky, etc.), et de l’indifférence et/ou mépris de la plupart, et encore davantage de pollution électromagnétique avec la 5G qui commence à être déployée… Et en plus de la surpollution électromagnétique domestique (électricité 50 Hz, champ électrique, champ magnétique, CPL Linky, ERL Linky, autres compteurs gaz et eau radiatifs, etc., voir : Pollution Électromagnétique 4 : Compteurs communicants radiatifs Linky, Gazpar, Aquarius…).
Plus les fréquences ont augmenté, plus les troubles ont augmenté (voir : Pollution Électromagnétique – 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels).
En général, plus l’exposition est courte, moins le temps pour s’en remettre est long. L’exposition aux basses fréquences nécessite plus de temps pour s’en remettre.
Les tissus anti-ondes sur soi et les tissus anti-ondes de baldaquin pour dormir ne servent à rien à terme comme protection.
L’ÉLECTROHYPERSENSIBILITÉ (EHS) C’EST COMME UNE ALLERGIE DU CERVEAU AUX CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES. (DE MÊME POUR LA SENSIBILITÉ CHIMIQUE MULTIPLE (MCS) AVEC LES PRODUITS CHIMIQUES).
La pollution électromagnétique est aujourd’hui une surpollution électromagnétique.
1. Électrosensibilité, intolérance aux champs électromagnétiques et ÉlectroHyperSensibilité
« L’électrohypersensibilité, c’est comme si le cerveau avait pris un coup de soleil », Pr Belpomme.
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 2. Le syndrome d’intolérance électromagnétique, section 1. De la distinction entre intolérance attribuée aux champs électromagnétiques et électrosensibilité, p. 69 : « … le concept d’EHS doit être fondamentalement distingué de celui d’intolérance, car l’EHS désigne en réalité un état d’hypersensibilité neuro-biologique singulier, impliquant probablement au niveau cérébral un abaissement du seuil de tolérance aux champs électromagnétiques ; alors que par définition le terme plus général d’intolérance doit être réservé aux manifestations éventuellement multiorganiques survenant en cas d’exposition à un environnement délétère. Bien qu’elle soit difficile à comprendre, cette distinction est fondamentale, car elle n’implique pas que les manifestations d’intolérance en lien avec une exposition aux champs électromagnétiques soient nécessairement associées à un état d’électrohypersensibilité ».
- ECERI (Institut Recherche/médecine Environnementale)
Syndrome d’électrosensibilité ARTAC – État des lieux des recherches – 2009
L’ARTAC décrit le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) – Janvier 2009
Intolérance aux champs électromagnétiques – les recherches
1.2. Définition du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 2. Le syndrome d’intolérance électromagnétique, section 2. De la définition du Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques, p. 69 : « … des preuves de plus en plus nombreuses et conséquentes permettent aujourd’hui d’accréditer l’hypothèse selon laquelle les symptômes cliniques et les anomalies biologiques et radiologiques observées chez les malades se plaignant d’intolérance aux champs électromagnétiques sont bien la conséquence d’une exposition aux champs électromagnétiques ; et cela sans préjuger de l’existence ou non d’une EHS associée. D’où le terme générique de syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) que nous avons proposé et décrivons dans ce chapitre à partir de l’analyse d’une série de malades examinés cliniquement et investigués aux plans biologique et radiologique, dans le cadre d’un protocole de suivi médical établi et conduit sous obédience internationale ».
1.2.1. Diagnostic du SICEM
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 2, section 6, p. 73-74 : « … Que l’intolérance soit ou non associée à une EHS, la détection de certains marqueurs biologiques dans le sang et les urines prouve de façon indéniable l’organicité de l’affection, autrement dit son caractère somatique et non pas, comme l’affirme sans prudence scientifique l’ANSES, son origine psychologique. Ainsi peut-on déceler au plan moléculaire chez les malades se réclamant d’une intolérance aux champs électromagnétiques, l’existence d’une inflammation dite de bas grade, c’est-à-dire purement biologique, dont témoignent en particulier l’augmentation dans le sang d’une molécule médiatrice de l’inflammation, l’histamine, chez 40 % des malades, la possibilité d’une ouverture de la barrière hémato-encéphalique, qui normalement empêche les substances toxiques présentes dans le sang de pénétrer dans le cerveau. Et ici sans doute doit-on rendre hommage au chercheur français Pierre Aubineau qui parmi les premiers a démontré l’existence d’une telle ouverture chez les rats soumis à des champs électromagnétiques. Ce que nous avons confirmé chez 20 % des malades intolérants aux champs électromagnétiques, en décelant dans leur sang l’augmentation de deux marqueurs de cette ouverture : la nitrotyrosine et une autre molécule, la protéine S100B. À cela s’ajoute l’existence d’une réaction auto-immune, en raison de l’existence d’autoanticorps dirigés contre la substance blanche du système nerveux (plus précisément contre la protéine O-myéline) dans 20 % des cas. … Enfin, point capital, on a pu mettre en évidence l’existence d’un stress oxydant et/ou nitrosé à l’origine de la production d’espèces moléculaires ou de radicaux libres extrêmement toxiques … chez environ 80 % des sujets électrohypersensibles se réclamant d’une intolérance aux champs électromagnétiques.
« … La mise en évidence d’un tel stress oxydant est de même décelé chez des malades atteints d’affections neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson et la SLA, et chez les malades atteints d’autres affections telles que le cancer et le diabète. Et que c’est sur la base de ce type d’altération qu’on explique la genèse et le développement de ces pathologies. Toutes les anomalies que nous avons décelées … signent donc à l’évidence l’organicité du SICEM et permettent d’en faire le diagnostic.
« … Dans le cas du syndrome d’intolérance que nous décrivons, il n’y a pas que les anomalies biologiques à considérer. Des signes radiologiques sont de même décelés grâce à l’utilisation d’examen d’imagerie. Non pas l’IRM cérébrale classique qui est le plus souvent normale … mais … la tomosphygmographie cérébrale ultrasonore (TSCU), l’échodoppler transcrânien (ETC) et l’IRM cérébrale fonctionnelle (IRMf), ces investigations permettant la mise en évidence d’une diminution des pulsations intracérébrales au niveau des lobes temporaux (TSCU).
« … d’une diminution de la circulation sanguine intracérébrale (ETC) et/ou d’un dysfonctionnement de certains territoires du cerveau (IRMf). … La découverte de ces anomalies échographiques et radiologiques est donc d’une importance capitale, car en révélant la nature fonctionnelle et même déjà lésionnelle du SICEM, qu’il soit associé ou non à une MCS, permet de le caractériser de façon objective et de réfuter indubitablement les affirmations péremptoires de l’OMS selon lesquelles aucun diagnostic médical n’est possible et l’hypothèse très aventureuse et scientifiquement infondée de l’ANSES selon laquelle un effet psychosomatique ou nocebo en serait la cause ».
1.3. Symptômes neurologiques et non pas psychologiques ou psychiatriques
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 2. Le syndrome d’intolérance électromagnétique, section 4. Des symptômes pour la plupart neurologiques et non pas psychologiques ou psychiatriques, p. 70-71 : « … La majorité des symptômes d’intolérances observés, que l’EHS soit ou non associée à une MCS, sont de nature neurologique. Ceux-ci comprennent principalement l’existence de maux de tête ; celle de troubles de la sensibilité superficielle (dysesthésies [fourmillements, picotements, sensation de brûlure ou existence de démangeaisons (prurit) au niveau du visage et/ou des membres supérieurs et/ou inférieurs, souvent localisé au niveau des mains et des pieds] et myalgies) et/ou profonde (vertiges [il s’agit en réalité dans la très grande majorité des cas de « vertiges » non rotatoires, appelés « faux vertiges »], perte d’équilibre) ; la mise en évidence d’anomalies de l’audition (acouphènes, hyperacousie [intolérance aux bruits]) et visuelles (photophobie, flashs lumineux, etc.) ; enfin la possibilité de troubles sympathiques (accélération du pouls, palpitations, oppression thoracique, instabilité tensionnelle, sécheresse des yeux, incontinence urinaire, nausées, troubles digestifs, etc.) ; et cela sans oublier la survenue quasi constante de déficits cognitifs à type de perte de mémoire immédiate et de troubles de l’attention et de la concentration ; le tout conduisant peu à peu à une triade symptomatique faite d’insomnie, de fatigue chronique et de tendance dépressive.
…
« … de plus l’existence de mouvements involontaires parfois de type choréiforme et de troubles de l’équilibre observés chez près d’un malade sur deux et décelés à l’examen neurologique dans environ 5 à 10 % des cas [ces troubles de l’équilibre peuvent être mis objectivement en évidence dans environ 5 à 10 % par un signe de Romberg à l’examen neurologique], et celles de lésions cutanées chez 16 % des malades atteints d’EHS seule … et chez 40 % des malades en cas de MCS associée. … Contrairement à ce qui a pu être affirmé, ces deux types de manifestations signent donc à l’évidence la nature objective de ce syndrome.
…
« A cela s’ajoutent des manifestations dépressives avec des idées suicidaires chez 20 à 40 % des malades, des épisodes d’anxiété voire même de panique et des signes d’instabilité qui peuvent mettre à tort sur la voie d’une affection psychiatrique primitive, mais qui traduisent en réalité, la très grande souffrance physique et mentale des malades en raison de leur exposition présumée à des champs électromagnétiques et de leur non prise en charge, comme il conviendrait, par les médecins et les pouvoirs publics ».
1.4. Évolution
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 2. Le syndrome d’intolérance électromagnétique, section 7. L’évolution, p. 74-75 : « L’évolution ne devrait plus se concevoir en l’absence de traitement et – principe de précaution oblige – en l’absence de protection et de sevrage électromagnétique …, car selon notre expérience, un tel manquement médical est préjudiciable aux malades ; et ce n’est pas la mise sous antidépresseurs et/ou anxiolytiques, comme cela est préconisé par certains médecins, qui pourrait permettre d’aboutir à soulager les souffrances endurées par les malades. C’est ce que constatent un nombre croissant de médecins généralistes, désemparés par la prise en charge de ces malades, en raison de la nouveauté du SICEM et au manque de formation appropriée. D’ailleurs la plupart des malades se dérobent à toute prise de psychotropes. C’est donc dans le cadre d’une prise en charge scientifique spécifique, c’est-à-dire médicalement justifiée, lorsque les malades sont traités et protégés, qu’il convient d’envisager aujourd’hui une telle évolution. Comme nous le verrons … l’une des conséquences majeures du SICEM est la survenue progressive d’une EHS associée ou non à une MCS. En fait, pour expliquer l’association des deux types de pathologie, ce serait l’existence de mécanismes physiopathologiques communs au niveau du système nerveux.
…
« En fait, en cas d’évolution non traitée, une amplification des troubles cognitifs avec désorientation temporospatiale, perte de mémoire, survenue d’«absences » et d’épisodes de confusion (comme on l’observe dans « l’épilepsie temporale », est à craindre, pouvant conduire progressivement à la survenue d’un état comparable à celui de différentes affections neuro-psychiatriques encore mal étiquetées, dans le cadre d’une neuropathie dégénérative du système nerveux. Par contre, sous traitement associé au sevrage électromagnétique le plus rigoureux possible, selon notre expérience, l’évolution est favorable chez environ deux malades sur trois, avec régression partielle ou même complète des symptômes cliniques d’intolérance, normalisation des marqueurs biologiques et de la TSCU, alors que l’EHS malheureusement persiste, imposant la nécessité pour les malades de se protéger en permanence.
1.5. Ce que sont l’électrohypersensibilité (EHS) et la sensibilité chimique multiple (MCS)
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 3. Ce que sont en réalité l’électrohypersensibilité et la sensibilité multiple aux produits chimiques, p. 81-82 : « … l’erreur souvent commise est de confondre les manifestations d’intolérance aux champs électromagnétiques avec l’EHS. … il s’agit de deux types d’affections très souvent associés l’un à l’autre, mais qui résultent en réalité de phénomènes distincts du point de vue physiopathologique et même clinique. Si dans les deux cas, comme nous l’avons montré avec d’autres, les mécanismes en cause peuvent impliquer la genèse d’un stress oxydant et/ou nitrosé, et d’une inflammation dite de bas grade, la différence que nous établissons est que l’intolérance aux champs électromagnétiques concerne l’ensemble de l’organisme exposé aux champs électriques ou électromagnétiques, donc ici plus particulièrement la peau, le cœur, le cerveau, les organes génitaux, la thyroïde, la moelle osseuse et le système immunitaire. Une telle intolérance, surtout lorsqu’elle résulte d’une exposition chronique, peut donc se solder par les manifestations clinico-biologiques que nous avons décrites précédemment, sans pour autant qu’une EHS par définition d’expression purement endogène y soit nécessairement associée.
…
« … l’EHS doit être considérée comme un phénomène pathologique intracorporel à part entière, prenant origine, comme la MCS, dans le cerveau, et comme nous le verrons, très probablement dans les lobes temporaux, l’intolérance quant à elle est de nature multi-organique et d’origine environnementale. Et cela, bien que l’EHS puisse elle aussi être causée par les champs électromagnétiques et/ou par certains produits chimiques … et que les anomalies neuronales en cause permettant d’en expliquer la genèse soient encore inconnues. Cela explique que l’EHS ne puisse être actuellement définie et caractérisée qu’au plan clinique : d’abord et avant tout, par l’abaissement du seuil de tolérance de l’organisme aux champs électromagnétiques, autrement dit par la survenue de symptômes cliniques d’intolérance pour des intensités faibles ou très faibles de champs électromagnétiques, éventuellement même pour des intensités à la limite du seuil de détection physique des appareils de mesure les plus performants ; et d’autre part, par l’extension progressive de cet abaissement de seuil à une grande partie si ce n’est à l’ensemble des fréquences du spectre électromagnétique ».
1.6. L’électrohypersensibilité, nouvelle affection neurologique
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 3. Ce que sont en réalité l’électrohypersensibilité et la sensibilité multiple aux produits chimiques, section 1. L’électrohypersensibilité en tant que nouvelle affection neurologique, p. 82 :
« … sans tenir compte des progrès réalisés dans la compréhension de cette nouvelle pathologie, et en particulier de nos propres travaux, c’est aussi ce qu’affirmait à tort en France l’ANSES en 2018, considérant que cette affection n’en était pas une, puisque pouvant résulter d’un effet nocebo. Autrement dit que sa cause était purement psychologique, en quelque sorte « imaginée » par les malades.
« C’est ce que nous contestons fermement au plan scientifique, en démontrant la réalité des signes d’intolérance présentés par les malades se disant être atteints d’EHS, tant au plan clinique que biologique et radiologique. Il est donc évident que l’EHS constitue bien une nouvelle affection organique essentiellement neurologique et, que toute considération d’ordre psychologique pour en expliquer l’origine et la nature ne peut en réalité relever que d’une erreur médicale, les manisfestations psychologiques, voire même psychiatriques survenant en fin d’évolution, devant être considérées non pas comme la cause de cette affection, mais comme sa conséquence ».
1.7. Genèse et progression de l’électrohypersensibilité
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 3. Ce que sont en réalité l’électrohypersensibilité et la sensibilité multiple aux produits chimiques, section 2. Genèse et progression de l’électrohypersensibilité, p. 83-84 : « Définie cliniquement par un abaissement du seuil de tolérance aux champs électromagnétiques, l’EHS pose en fait la question des types de fréquences concernés, et comment l’intolérance pour des faibles intensités de champs électromagnétiques apparait et progresse chez les malades. … chez la plupart des malades (dans environ 80 % des cas), apparait l’EHS cliniquement d’abord et avant tout concerne les radiofréquences, et plus particulièrement les hyperfréquences (micro-ondes) ; avant éventuellement de s’étendre dans un second temps aux extrêmement basses fréquences. Alors que chez d’autres malades, en vérité moins nombreux (environ 20 % des cas), c’est apparemment l’inverse qui se produit, puisque l’EHS semble concerner d’abord les basses et/ou extrêmement basses fréquences avant de s’étendre peu à peu aux radiofréquences ; voire au-delà à une grande partie ou même parfois à l’ensemble du spectre électromagnétique. En réalité, comme nous l’avons observé, le développement d’une EHS est relativement stéréotypé, avec la possibilité que certains malades (environ 40 %) présentent dans leurs antécédents, souvent dès l’enfance et bien sûr au cours de la progression de leur affection, une photophobie marquée concernant la lumière visible, qu’elle soit naturelle ou artificielle ».
1.8. Symptômes communs classiques de l’électrohypersensibilité
- mal de tête, gêne/douleur arrière de la tête, tempes/front,
- raideur de la nuque,
- gênes dans et/ou autour de la tête,
- brouillard dans et/ou autour de la tête,
- sensation de pression dans et/ou autour de la tête, sensation de casque,
- nausées,
- acouphènes, tintement/sifflement d’oreille ; La recrudescence d’acouphènes depuis les années 2010 est principalement due à la pollution électromagnétique (entendre des fréquences et types d’acouphènes : https://www.france-acouphenes.org/index.php/pathologies/acouphenes/entendre-des-acouphenes), électrosensible.org : « Les acouphènes une conséquence méconnue de la pollution électromagnétique
- troubles oculaires, yeux douloureux, yeux qui brulent/piquent,
- insomnies d’endormissement et/ou de réveil, sommeil non-réparateur, fatigue au réveil, fatigue persistante le jour,
- fatigue chronique, épuisement,
- fourmillements/picotements tête/membres,
- palpitations, troubles de rythme cardiaque, sensation d’oppression,
- troubles digestifs, acidité/reflux gastrique, mal de ventre,
- troubles cognitifs, difficulté ou déficience temporaire de l’attention, concentration, mémoire, réflexion, orientation,
- étourdissements, faux vertiges, vertiges,
- troubles cutanés, rougeurs, sensation de peau fragile/fine/sèche, sensations de brûlure, brûlures,
- raideur/faiblesses musculaires, douleurs musculaires,
- agitation, irritabilité, manque ou déficience temporaire de résistance nerveuse et/ou émotionnelle,
- sensation de malaise, sensation de perte d’équilibre,
- sensation d’électrocution, intolérance aux installations électriques même non-connues,
- sécheresse nasale, rhinite chronique,
- allergies accentuées…
- intolérance chimique, souvent associée, aux parfums, peintures, produits chimiques, etc.,
Beaucoup sinon une majorité de consultations médicales ont pour origine l’électro-sensibilité à cause des expositions aux champs électromagnétiques artificiels augmentant partout sans aucune connaissance de l’origine des troubles car le discours officiel mensonger se veut rassurant avec des normes biaisées très élevées qui ne tiennent aucun compte des vrais effets des champs électromagnétiques et en mettant fallacieusement en doute les études. Les signes d’électro-sensibilité diffèrent d’intensité et s’associent différemment selon les personnes, sans réelle compréhension (ni bon traitement) de la part des médecins. Les champs électromagnétiques artificiels impliquent des troubles fonctionnels mais aussi des maladies. Concernant plus de détails des symptômes de l’électroHyperSensibilité, voir : Pollution Électromagnétique 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels.
L’électrohypersensibilité est le résultat d’un processus d’électrisation par les rayonnements électromagnétiques comme avec une pile altérant à petit feu le fonctionnement du système nerveux, neuro-endocrinien et cellulaire, parce que c’est une brûlure sournoise et progressive par accumulation, par absorption, et par convection, par voie interne et à partir de l’intérieur, et non pas par conduction ou à partir de l’extérieur comme d’autres brûlures classiques.
Il est tout à fait connu scientifiquement, depuis les années 1970, que les micro-ondes sont très néfastes pour la santé. Il n’est donc pas étonnant de constater que les nouvelles maladies émergentes sont étroitement liées aux technologies micro-ondes croissantes.
- On sait que les champs électromagnétiques artificiels augmentent l’oxydation cellulaire et produisent un gros excès de radicaux libres mal-éliminés, ce qui revient à un vieillissement prématuré, ainsi qu’une inflammation chronique cérébrale (notamment le bulbe).
- On sait que les champs électromagnétiques artificiels altèrent et diminuent la circulation sanguine cérébrale (notamment les lobes temporaux).
- On sait aujourd’hui que les champs électromagnétiques artificiels ouvrent les canaux calciques voltages-dépendants affectant gravement les mitochondries (source de l’énergie de la cellule), affaiblissant l’énergie des cellules, et entrainant une apoptose (suicide) cellulaire prématurée.
1.9. Syndrome des micro-ondes ou syndrome des hyperfréquences
Voir : Pollution Électromagnétique – 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels
1.10. Les malades électrosensibles sont abandonnés et niés par les pouvoirs publics
La société civile a décidé de 1° déployer les technologies sans fil à outrance et 2° de laisser pour compte les malades comme dommages collatéraux. Mais beaucoup seront malades. Les industries de pollution électromagnétiques grand public ont créé frauduleusement des doutes sur la dangerosité des champs électromagnétiques artificiels (Haute Fréquence micro-ondes et Basse Fréquence domestique). Ce que font les industries de pollution électromagnétiques est exactement la même stratégie de mensonge qu’avait mise en œuvre l’industrie du tabac en créant le doute pendant des décennies sur la dangerosité du tabac, ou d’autres avec l’amiante, ou d’autres avec d’autres pollutions, comme Monsanto avec les OGM, les pesticides, etc. C’est la raison pour laquelle les États ne légifèrent qu’avec des normes fourni par l’industrie ne prenant (sciemment) en compte que les effets thermiques (DAS) qui ne sont PAS les effets non-thermiques spécifiques qui eux sont majoritaires, pertinents et parfaitement connus. C’est ainsi que les portes-paroles de l’industrie CEM, comme les politiques, utilisent toujours le même argument comme : « Il n’existe pas de preuves de corrélation entre les champs électromagnétiques artificiels aux doses et normes actuels et la dangerosité pour la santé ». Comme cela a déjà été dit, c’est exactement la même stratégie de création du doute mise en œuvre par des études falsifiées et frauduleuses pour contredire les vraies études. Pourquoi ? Afin de gagner du temps, parce qu’ils savent que le problème sortira mais qu’ils auront eu à la fois le temps de gagner des milliers de milliards en trente à quarante ans, et en plus ils s’en sortiront impunément en arguant des choses comme : « Sans certitude, on ne savait pas ». Mais ceci est bien sûr du mensonge pur et simple car les effets nocifs sont parfaitement connus depuis les années 70 par les militaires et par les autorités civiles, et par les nombreuses études scientifiques internationales publiées dans les années 2000 et 2010. Bien sur les responsables politiques ne sont pas des responsables du tout ni ne décident de quoi que ce soit parce qu’ils sont des esclaves des industries et des pouvoirs supranationaux. Donc les États – dans le monde entier – ont préféré ignorer toutes les mises en garde sérieuses et sévères et ont préféré déployer la 4 G au lieu de stopper par précaution et en plus, leur réponse au très grave problème sanitaire public causé par les champs électromagnétiques artificiels est le déploiement de la 5 G (700 MHz – 3,4-3,8 GHz – 24 GHz) et des compteurs communicants irradiants (CPL 50-95 KHz) Linky, Gazpar, Aquarius, en 2020, ce qui augmentera encore davantage les maladies et les malades à court terme, à moyen terme, et à long terme. La réponse des pouvoirs publics est une couverture totale de micro-ondes SANS aucune zone blanche (≈ 150 000 antennes relais en France en 2017 ; 207 080 antennes relais en France en avril 2019, c-à-d 3, 239 antennes/1000 habitants). C’est un choix délibéré néfaste au détriment des personnes. C’est donc un choix criminel. Et la plupart des gens préfèrent utiliser les sans fil et ne pas savoir… Et quand les pouvoirs publics menteurs sont gênés par le nombre croissant de personnes qui se plaignent de troubles des ondes électromagnétiques artificielles et du nombre des malades qui augmentent, ils tentent de les faire passer pour des malades psychosomatiques ou psychiatriques par dessus le marché ! L’erreur est humaine mais y persévérer sciemment est diabolique.
Les pouvoirs publics ne font rien et au contraire, sont complices de la désinformation et d’enterrer ces problèmes. Rapports d’experts menteurs à la solde des opérateurs ; attaque contre les rares médecins prenant ce problème à bras le corps ; pas de vraies zones blanches sans champs d’ondes électromagnétiques artificielles, parquer les malades comme psychiatriques, etc. Quelle honte des dirigeants politiques qui ne font rien pour protéger les gens, pour arrêter les déploiements, qui ne font rien pour organiser et mettre en place un plan sanitaire et médical, mais qui continuent à déployer plus encore la 4 G, des antennes-relais et des faisceaux hertziens partout et qui en plus déploient la 5 G ! Quelle honte aussi pour les médecins, neurologues, endocrinologues, etc. qui devraient – et qui auraient dû déjà depuis longtemps – se pencher de près sur ces nouveaux troubles causés par les champs d’ondes artificielles électromagnétiques ! C’est une faute morale très grave. Mais non. Ils s’en moquent. Très rares sont les médecins au courant des troubles causés par les champs électromagnétiques artificiels. La plupart des médecins sont condescendants et méprisants devant des malades des ondes électromagnétiques. On peut se demander ce qu’ils font vraiment comme métier. Le serment d’Hippocrate est une farce hypocrite. La vraie « déontologie » ou « éthique » – comme ils disent commence par la conscience morale naturelle du bien et du mal, elle se poursuit par la recherche sincère de la vérité, et trouve sa fin dans l’unique Vérité. Mais ce genre de personnes préfèrent philosopher et jouer les savants au lieu de chercher à faire le bien dans la vérité. On se moque littéralement des populations, on les culpabilise pour mieux les contrôler, et ces « experts » menteurs discutent d' »incertitude », de « normes », de « planète », de « transition énergétique », de « carbone », de « changement climatique », d' »économiser l’eau » (alors que sans les OGM et pesticides Monsanto et les autres, l’eau ne serait pas un problème du tout, Monsanto fait utiliser 70 % de l’eau par les agriculteurs à cause de l’utilisation de ses semences et de ses poisons, qui en plus polluent tout et partout), etc. Que des mensonges. Cette pollution électromagnétique empoisonne les cerveaux (par ouverture de la Barrière Hémato-Encéphalique le cerveau n’est plus protégé et s’oxyde avec des micro-inflammations), c’est déjà un des plus grands de tous les scandales sanitaires ! 2 à 10 % des populations, selon les pays, sont malades à cause de la sensibilité électromagnétique. Beaucoup plus avec la 5 G, seront malades sans comprendre d’où ça vient, malades comme médecins.
1.11. Électrohypersensibles nouveaux parias de la société
Extraits du livre : « Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil …, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie V, ch. 15. Préjudices moraux et sociétaux, section 2., p. 246-247 : Les nouveaux parias : « Les effets des champs électromagnétiques sur la santé peuvent être extrêmement sévères et préjudiciables. En raison des troubles cognitifs, le SICEM pourrait représenter un état pré-Alzheimer, certes potentiellement encore réversible, mais qui, en l’absence de traitement préventif et de mesures de protection pourrait évoluer vers une véritable altération mentale. A cela s’ajoute, comme on l’a vu, le risque de maladie d’Alzheimer, en cas d’exposition professionnelle prolongée aux basses ou extrêmement basses fréquences. De même, fréquemment associée au SICEM, la survenue d’une MCS représente certainement un deuxième handicap, en raison de son évolution chronique, rendant la vie quotidienne extrêmement difficile ; avec pour éventuelle complication, la survenue d’une maladie auto-immune, d’une maladie endocrinienne ou encore d’un lymphome. Or, indépendamment de l’existence d’une EHS, toute exposition chronique à des champs électromagnétiques peut aussi avoir pour conséquence la survenue d’un cancer. C’est la conclusion à laquelle est parvenue l’OMS pour l’exposition aux radiofréquences et qui complète, ce qu’on savait déjà, pour les extrêmement basses fréquences. C’est donc l’ensemble des fréquences non thermiques du spectre électromagnétique qui est aujourd’hui classé dans le groupe 2B du CIRC, autrement dit comme possiblement cancérigènes [Centre International de Recherche sur le Cancer, … IARC, International Agency for Research on Cancer] ; et il en serait de même de l’ensemble de ces fréquences pour l’EHS.
« Pour les sujets devenus EHS les conséquences sociales sont en réalité extrêmement sévères : perte d’emploi ; rupture du couple ; isolement familial et sociétal ; consultations médicales et sociales sans fin, et le plus souvent inefficaces, en raison de l’absence de reconnaissance de cette affection par les pouvoirs publics et politiques et donc de sa méconnaissance par de nombreux médecins ; changement de domicile (certains malades sont obligés de dormir dans une tente ou une caravane en pleine nature pour fuir leur lieu de vie pollué par les champs électromagnétiques), et se mettre à distance des lignes à haute tension et des antennes-relais ; contraction de dettes et appauvrissement ; idées suicidaires chez près d’un malade sur deux ; et chez l’enfant : dyslexie, retard scolaire et troubles du comportement.
« Aujourd’hui tout le monde s’accorde pour reconnaître l’existence de cette souffrance, mais sous prétexte qu’aux dires des lobbies et des représentants de l’industrie, il n’y aurait aucun lien prouvé avec les champs électromagnétiques, rien n’est fait pour faciliter la prise en charge médico-sociale de ces malades, et rien, en matière de prévention et de protection ».
2. Articles sur l’électrosensibilité
« L’électrosensibilité : un handicap fonctionnel » – Document PDF en Anglais, de l’article médical du Pr Olle Johansson, Department of Neuroscience, Karolinska Institute, Stockholm, Sweden, 2006 : ElectroHyperSensitivityOlleJohanson2006.pdf
Electro-sensibilité, le cri d’alarme des médecins
La loi Élan a discrètement supprimé la protection face aux antennes-relais
La lumière sur les effets nocifs des champs électromagnétiques
Réduisez votre exposition aux champs électromagnétiques (EMF)
Témoignage : « Électro(hyper)sensibilité ? Ces mots je ne les aime pas dut tout. Pourquoi ?
Parce que cela décrit la personne comme un malade, la sensibilité comme une pathologie, alors que c’est une conséquence… ». https://phonegatealert.org/temoignage-electrohypersensibilite-ces-mots-je-ne-les-aime-plus-du-tout-pourquoi/
3. Études scientifiques
3.1. Publications d’études scientifiques
Mesure des dommages de l’ADN après exposition aux radiations électromagnétiques dans la bande de fréquence (835, 62 et 847, 74 MHz) de communication de téléphone cellulaire, 1997
Génotoxicité des signaux de radiofréquences. Investigation de l’induction des dommages de l’ADN et de micronuclei dans la culture de cellules sanguines humaines, 2002
Les effets d’une exposition à long terme à des champs magnétiques via un rayonnement GSM 900 MHz sur des paramètres biochimiques et sur l’histologie du cerveau : Saadet D. Cecikozlu et al., Electromagnetic Biology and Medicine, 31(4): 344-355, 2012
Résumé : L’exposition à un champ magnétique affecte certains paramètres biochimiques, particulièrement dans la région du cortex. Elle entraîne une baisse significative du nombre de neurones pyramidaux et accroît très significativement le nombre de neurones ischémiques. Par ailleurs, elle accroît le niveau de glucose ainsi que de protéines dans le sang.
L’exposition fœtale à des radiations haute fréquence de téléphones portables comprises entre 800 et 1900MHz affecte le neurodéveloppement et le comportement chez la souris : Tamir et al., Scientific Reports, 2:312, 2012
Résumé : L’exposition in utero à des champs électromagnétiques de téléphones portables affecte le comportement adulte. Les souris exposées in utero sont hyperactives et ont des troubles de la mémoire. Ces modifications comportementales sont dues à l’altération de la programmation du développement neuronal. Les souris exposées ont une transmission glutamatergique synaptique altérée sur les neurones pyramidaux de la couche V du cortex préfrontal.
L’exposition à des champs électromagnétiques de 2, 45 GHz [¹] suscite une réponse de stress liée à HSP dans l’hippocampe des rats : Yang XS et al., Brain Res Bull, 2012 Jul 1;88(4):371-8
Résumé : Sur les 2048 gènes examinés chez des rats exposés à 2, 45 GHz, 23 gènes sous-exprimés et 18 sur-exprimés ont été identifiés. De manière notable, les protéines de choc HSP 27 et HSP 70 étaient augmentées dans l’hippocampe, témoignant d’un stress intense, particulièrement dans les neurones pyramidaux de la corne d’Ammon et du gyrus denté.
[¹] 2, 45 GHz = fréquence des fours à micro-ondes et du Wifi.
Autres études scientifiques et publications sur la nocivité et danger des champs électromagnétiques artificiels, voir : Pollution Électromagnétique 3, section 3 : Électrosensibilité, Intolérance aux champs électromagnétiques, Électro-hypersensibilité.
Corrigendum : Biomarqueurs fiables de maladies caractérisant et identifiant l’électrohypersensibilité et la sensibilité chimique multiple comme deux aspects étiopathogéniques d’un trouble pathologique unique – Belpomme D, C Campagnac, Irigaray P. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27783561 (https://www.degruyter.com/view/j/reveh.ahead-of-print/reveh-2015-8888/reveh-2015-8888.xml)
Des biomarqueurs fiables de maladie caractérisant et identifiant l’électrohypersensibilité et la sensibilité chimique multiple comme deux aspects étiopathogéniques d’un trouble pathologique unique – Belpomme D, C Campagnac, Irigaray P : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26613326
Intolérance environnementale idiopathique – Charpentier D O, Belpomme D : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26613324 (https://www.degruyter.com/view/j/reveh.2015.30.issue-4/reveh-2015-0065/reveh-2015-0065.xml)
La question de savoir si les effets génotoxiques de l’exposition aux champs électromagnétiques (CEM-RF) à ondes continues (CW) dans les cellules HL-60 sont reproductibles demeure sans réponse – Adlkofer F : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24769489 ([Elsevier] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1383571814001065?via%3Dihub)
Dommages chromosomiques chez les fibroblastes diploïdes humains causés par une exposition intermittente à des champs électromagnétiques de fréquence extrêmement basse – Adlkofer F : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16009595
Rupture de l’ADN non thermique par rayonnement de téléphonie mobile (1800 MHz) dans les fibroblastes humains et dans les cellules granuleuses de rat GFSH-R17 transformées in vitro – Adlkofer F : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15869902
Les champs électromagnétiques de radiofréquence (UMTS, 1 950 MHz) induisent des effets génotoxiques in vitro dans les fibroblastes humains, mais pas dans les lymphocytes – Adlkofer F : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18278508
L’expression de PHOX2A, PHOX2B et de leur gène cible, la dopamine-bêta-hydroxylase (DbetaH), n’est pas modifiée par l’exposition à un champ électromagnétique extrêmement faible fréquence (ELF-EMF) dans un modèle neuronal humain – Adlkofer F : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18572378
99 publications scientifiques sur l’électrosensibilité : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=électrosensitivity
Points extraits de l’étude ci-dessus, sur l’électrohypersensibilité (EHS) et la sensibilité chimique multiple (MCS), Pr Belpomme – 2020 :
« … ces patients [malades atteints d’EHS] présentent objectivement une véritable pathologie somatique et non comme l’affirment certains, une pathologie d’origine purement psychologique ».
« … l’EHS se caractérise par l’apparition de symptômes neurologiques …maux de tête, … acouphènes, … hyperacousie, … vertiges, … troubles de l’équilibre, anomalies de la sensibilité superficielle et/ou profonde, … fibromyalgie, … dysfonctionnement neurovégétatif, … réduction des capacités cognitives, … perte de mémoire immédiate, … déficit d’attention et de concentration, … éventuellement épisodes de désorientation spatio-temporelle. … associées à une triade symptomatiques … d’insomnie, de fatique chronique, et de tendance dépressive … en plus d’une labilité émotionnelle et parfois d’irritabilité… un signe de Romberg (test objectif de posture) dans 5% des cas … lésions cutanées dans 16% des cas ».
« Dans l’ensemble, bien que la littérature scientifique considère que nombre de ces symptômes sont non-spécifiques, le tableau clinique observé fait état de leur association et d’une fréquence caractéristique, suggérant fortement que l’EHS peut en fait être reconnue et identifiée comme une pathologie neurologique typique, comme … pour la MCS et l’association EHS-MCS ».
« … l’EHS, la MCS et l’association EHS-MCS peuvent avoir dans leur genèse un mécanisme physiopathologique … impliquant une inflammation de bas grade »
« … l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique … réponse auto-immune contre la substance blanche du système nerveux … conséquence de l’apparition d’un stress oxydatif/nitrosatif induit par les champs électromagnétiques ou les produits chimiques »
« … diminution de biodisponibilité métabolique de la mélatonine en raison de l’augmentation de la consommation et de l’utilisation de celle-ci en tant que piégeur de radicaux libres »
« … l’EHS est associé à différents profils anormaux des neurotransmetteurs »
« … chez les … EHS une diminution de l’indice de pulsatilité moyen de l’une voire des deux artères cérébrales moyennes »
« … [dans les] lobes temporaux, … une diminution significative de l’indice pulsométrique moyen dans la zone capsulo-thalamique, qui correspond au système limbique et au thalamus »
« … le BBF [flux sanguin cérébral] dans les artères cérébrales moyennes peut être anormal ».
« … ce qui peut mener à un BBF [flux sanguin cérébral] diminué et/ou un métabolisme diminué dans les lobes pré-frontaux »
« … taux d’histamine élevé dans le sang »
« … augmentation des protéines S100 B et des biomarqueurs de stress oxydant »
« … les … EHS présentent souvent un important déficit … en vitamine D et en zinc … »
» … l’EHS peut évoluer vers une maladie neurodégénérative … »
» … l’EHS et la MCS semblent être associés à un état pathologique neurologique irréversible … »
« … ces affections ne peuvent pas être considérées comme de simples altérations fonctionnelles, mais … comme de véritables affections pathologiques … »
« … extension possible de la neuro-inflammation dans les lobes frontaux et possiblement dans l’hypothalamus ».
» … le terme d’hypersensibilité … caractérisé par une diminution du seuil de tolérance environnementale à un tel point critique que les patients deviennent intolérants aux facteurs de stress de faible intensité … comme … chez les … allergiques « .
» … les patients deviennent intolérants à de faibles intensités de CEM [champs électromagnétiques] ».
« … les … EHS peuvent être sensibles à certaines fréquences sans l’être nécessairement à d’autres … »
« … les effets biologiques … chez les … EHS … dus aux champs électromagnétiques … pulsés et polarisés émis par les technologies électriques ou électromagnétiques sans fil ».
« … en moyenne environ 3 % à 5 % de la population … sont en réalité aujourd’hui atteints d’EHS dans le monde ».
« … l’EHS doit donc être désormais reconnue comme une nouvelle affection neurologique identifiée et caractérisée au plan physiopathologique. Comme l’EHS est devenue un véritable fléau sanitaire frappant des millions de personnes dans le monde, cette affection devrait être reconnue comme telle par l’OMS, et donc inclue dans la classification internationale des maladies (CIM) ».
« Pourquoi l’électrohypersensibilité et les symptômes associés sont causés par les champs électromagnétiques artificiels non ionisants : un aperçu et une évaluation médicale », Environmental Research, 2022, Belpomme, Irigaray
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35537497/ [Anglais] ou https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013935122007010 [Anglais].
Extraits traduits en français de début de l'étude ci-dessus : Principaux points : - L'électrohypersensibilité est causée par les champs électromagnétiques. -L'électrohypersensibilité est un trouble neurologique avec inflammation, stressoxydatif. - Ouverture de la barrière hémato-encéphalique et anomalies des neurotransmetteurs. – L’électrohypersensibilité doit être définie par la diminution du seuil de tolérance aux champs électromagnétiques cérébraux.
« Résumé : Une grande partie de la controverse sur la cause de l’électrohypersensibilité (EHS) réside dans l’absence de critères cliniques et biologiques reconnus pour un diagnostic largement accepté. Cependant, il existe actuellement suffisamment de données pour que l’EHS soit reconnue comme un trouble pathologique neurologique nettement bien défini et objectivement caractérisé. Parce que nous avons montré que 1) l’EHS est fréquemment associée à une sensibilité chimique multiple (MCS) chez les patients EHS, et 2) que les deux troubles individualisés partagent un mécanisme physiopathologique commun pour l’apparition des symptômes ; il semble que l’EHS et la MCS puissent être identifiés comme un syndrome neurologique unique, quelle que soit leur origine causale. Dans cet aperçu, nous distinguons l’étiologie de l’EHS elle-même des causes environnementales qui déclenchent les changements physiopathologiques et les symptômes cliniques après l’apparition de l’EHS. Contrairement à des affirmations scientifiquement infondées, nous réfutons indubitablement l’hypothèse d’un effet nocebo pour expliquer la genèse de l’EHS et sa présentation. Nous réfutons également le concept erroné selon lequel l’EHS pourrait être réduite à une « déficience fonctionnelle » vague et non prouvée. Au contraire, nous montrons ici qu’il y a des changements physiopathologiques objectifs et des effets sur la santé induits par l’exposition aux champs électromagnétiques (CEM) chez les patients EHS et surtout chez les sujets sains, ce qui signifie que les CEM anthropiques non thermiques excessifs sont fortement nocifs pour la santé. Dans cet aperçu et cette évaluation médicale, nous nous concentrons sur les effets des fréquences extrêmement basses, des champs électromagnétiques radiofréquences et micro-ondes des communications sans fil. Nous discutons de la manière de mieux définir et caractériser l’EHS. En tenant compte des critères de causalité proposés par l’OMS, nous montrons que l’EHS est en fait associée de manière causale à une exposition accrue aux CEM d’origine humaine et, dans certains cas, aux produits chimiques environnementaux commercialisés. Nous appelons donc tous les gouvernements et les institutions de santé internationales, en particulier l’OMS, à considérer de toute urgence la peste pandémique croissante associée à l’EHS, et à reconnaître l’EHS comme une pathologie nouvelle principalement liée causalement aux CEM ».
3. 2. Ouverture de la barrière hémato-encéphalique par les CEM artificiels
Perméabilité de la barrière hémato-encéphalique induite par les radiofréquences de 915 MHz, par le courant continu et les courants alternatifs de 8, 16, 50 et 200Hz. Salford LG, Brun A, Sturesson K, Eberhardt JL, Persson BR. Microsc Res Tech. Avril 1994 15;27(6):535-42. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8012056
Augmentation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique chez les cerveaux de mammifères après 7 jours d’exposition aux radiofréquences de type GSM-900. Nittby H, Brun A, Eberhardt J, Malmgren L, Persson BR, Salford LG. Pathophysiology. Aout 2009;16(2-3):103-12. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19345073
Détérioration des fonctions cognitives de rats après une exposition aux radiofréquences de type GSM-900 sur le long terme. Nittby H, Grafström G, Tian DP, Malmgren L, Brun A, Persson BR, Salford LG, Eberhardt J. Bioelectromagnetics. Avril 2008;29(3):219-32. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18044737
L’exposition de cerveaux de rats aux radiofréquences ayant une fréquence de 915 MHz a induit des changements dans l’expression génique mais pas de cassure au niveau des brin d’ADN, ni d’effet sur la conformation des Chromosomes. Belyaev IY, Koch CB, Terenius O, Roxström-Lindquist K, Malmgren LO, H Sommer W, Salford LG, Persson BR. Bioelectromagnetics. Mai 2006 ;27(4):295-306. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16511873
3.3. Rapport BioInitiative 2012 VO Anglais
Le rapport BioInitiative est une méta-analyse d’études non-contestées, publiées en comité de lecture, et compilées par 29 scientifiques de renommée internationale.
JUSTIFICATION BIOLOGIQUE – NORMES D’EXPOSITION POUR LE RAYONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DE FAIBLE INTENSITÉ
I. Préface
Preface 2007
Preface 2012
II. Table des matières
Table of Contents 2007.
Table of Contents 2012
Section 1. Résumé pour le public et conclusions
2007 Report : Summary for the Public (Table 1-1 Conclusions)– Ms. Sage.
2014 Supplement : Summary for the Public – Ms. Sage.
Table 1-1 – Conclusions 2014.
Table 1-2 Reported Biological Effects from Radiofrequency Radiation at Low-Intensity Exposure 2012
Section 2. Énoncé du problème
Statement of the Problem – Ms. Sage
Section 3. Les normes d’exposition publique existantes
The Existing Public Exposure Standards – Ms. Sage
Section 4. Preuve de l’inadéquation des normes
2012 : Evidence for Inadequacy of the Standards – Ms. Sage
Section 5. Preuve des effets sur l’expression des gènes et des protéines
2007 : Evidence for Effects on Gene and Protein Expression –Dr. Xu and Dr. Chen
2007-2012 Supplement : EMF Transcriptomics and Proteomics Research – Dr. Fragopoulou and Dr. Margaritis
Section 6. Preuve d’effets génotoxiques – dommage d’ADN RFR et ELF
2007 : Evidence for Genotoxic Effects – Dr. Lai
2014 Supplement : Genetic Effects of Non-Ionizing Electromagnetic Fields – Dr. Lai
Section 7. Preuves de la réponse au stress (protéines du stress
2007 : Evidence for Stress Response (Stress Proteins) – Dr. Blank
2012 Supplement : Evidence for Stress Response: EMF-DNA Interaction – Dr. Blank
Section 8. Preuve des effets sur la fonction immunitaire
2007 : Evidence for Effects on Immune Function -Dr. Johansson
2012 Supplement : Immune System and EMF-RF – Dr. Grigoriev
Section 9. Preuve des effets sur la neurologie et le comportement
2007 : Evidence for Effects on Neurology and Behavior – Dr. Lai
2014 Supplement : Evidence for Effects on Neurology – Dr. Lai
Section 10. Effets des CEM de la communication sans fil sur la barrière hémato-encéphalique
2012 New Chapter – Dr. Salford, Dr. Nittby and Dr. Persson
Section 11. Preuves des tumeurs cérébrales et des neurinomes acoustiques
2007 Report : Evidence for Brain Tumors and Acoustic Neuromas – Dr. Hardell, Dr. Hansson Mild and Dr. Kundi
2012 Supplement – Dr. Hardell, Dr. Hansson Mild, Mr. Carlberg Use of Wireless Phones and Evidence for Increased Risk of Brain Tumors
2012 Supplement – Dr. Kundi Evidence for Brain Tumors (Epidemiological)
2017 Supplement – Dr. Hardell Use of Wireless Phones and Evidence for Increased Risk of Brain Tumors
Section 12. Preuves des cancers de l’enfant (leucémie)
2012 Replacement chapter : Evidence for Childhood Cancers (Leukemia) – Dr. Kundi
Section 13. Preuve des effets sur la mélatonine : la maladie d’Alzheimer et le cancer du sein
Section 14. Preuve de la promotion du cancer du sein
2007 Report : Evidence for Breast Cancer Promotion – Ms. Sage (Melatonin links in laboratory and cell studies)
Section 15. Preuve de perturbation par le signal modulant
2007 Report : Evidence for Disruption by the Modulating Signal- Dr. Blackman
2012 Supplement : Role of Physical and Biological Variables in Bioeffects of Non-Thermal Microwaves for Reproducibility, Cancer Risk Assessment and Safety Standards by Dr. Belyaev
Section 16. Mécanismes génétiques et métaboliques plausibles des effets biologiques de champs magnétiques ELF très faibles sur les tissus vivants
2012 New Chapter : Plausible Genetic and Metabolic Mechanisms for Bioeffects of Very Weak ELF Magnetic Fields on Living Tissue – Dr. Heroux and Dr. Ying Li
Section 17. Preuve basée sur les thérapies médicales
2007 Report : Evidence based on EMF Medical Therapeutics by Ms. Sage
2012 Supplement : Electromagnetic Medicine: Non-Inductive, Non-Thermal Modalities by Dr. Liboff
Section 18. Effets des CEM sur la fertilité et la reproduction
2012 New Chapter : Fertility and Reproduction Effects on EMF – Dr. Behari and Dr. Paulraj Rajamani
Section 19. Effets fœtal et néonatal des CEM
2012 New Chapter : Fetal and Neonatal Effects on EMF – Dr. Bellieni and Dr. Pinto
Section 20. Constatations dans l’autisme compatibles avec les CEM et RFR
2012 New Chapter – Dr. Herbert and Ms. Sage
Section 22. Précautions à prendre – exemples mondiaux de santé publique depuis la Bioinitiative 2007
2012 New Chapter : Precaution in Action – Global Public Health Examples since Bioinitiative 2007 – Dr. Oberfeld
Section 23. Le principe de précaution
2007 Report : The Precautionary Principle-Mr. Gee
2012 Supplement : The Precautionary Principle – Mr. Gee
Section 24. Principaux éléments de preuve scientifique et recommandations en matière de politique de santé publique
2007 Report : -Dr. Carpenter and Ms. Sage
2012 Supplement – Ms. Sage and Dr. Carpenter
3. 4. Action des champs électromagnétiques sur la santé – Compilation de références d’études scientifiques 1995 – 2016
Document – Sommaire
1- Les effets biologiques des champs électromagnétiques de la téléphonie mobile
1.1 Atteintes du système nerveux central
1.1.1 Effets des micro-ondes sur l’électroencéphalogramme (EEG) et altération de l’activité cérébrale
1.1.2 Effets des CEM sur l’activité cérébrale en fonction du temps d’exposition
1.1.3 Maux de tête
1.1.4 Flux sanguin cérébral
1.1.5 Blocage de l’action de la mélatonine et altération du sommeil
1.1. 6 Effets des micro-ondes sur l’hypothalamus
1.1.7 Perméabilité de la barrière hémato-encéphalique
1.1.8 Conséquences du degré de pénétration des radiations du portable dans le cerveau de l’enfant
1.1.9 Atteinte des neurones de l’hippocampe et altération de la mémoire
1.1.10 Épilepsie
1.1.11 Maladies dégénératives
1.1.12 Autisme et troubles comportementaux
1.2 Modification des mécanismes cellulaires et stress oxydatif
1.2.1 Altération du transport du sodium du potassium et fuite du calcium des membranes cellulaires
1.2.2 Altération du métabolisme du calcium: effets sur les canaux calciques et augmentation du calcium intracellulaire
1.2.3 Formation d’espèces d’oxygène actif (ROS : reactive oxygen species) [radicaux]
1.2.4 Activation en cascade de la protéine kinase
1.2.5 Augmentation de l’oxyde nitrique (NO)
1.2.6 Diminution du superoxyde dismutase (SOD)
1.2.7 Protéines de choc (HSP 70 : Heat Protein Shock)
1.2.8 Enzymes, neuromédiateurs et ATP
1.2.9 Stress oxydatif
1.3 Altération du système immunitaire
1.4 Cancérogénèse
1.4.1 Mécanismes cellulaires induisant une cancérogénèse
1.4.2 Tumeurs bénignes du cerveau dont neurinome acoustique
1.4.3 Tumeurs malignes du cerveau
1.4.4 Lymphomes
1.4.5 Tumeurs malignes de l’œil (mélanome uvéal)
1.4.6 Atteintes de la moelle osseuse
1.4.7 Cancer du sein
1.4.8 Tumeur de la glande parotide
1.5 Système cardiovasculaire
1.5.1 Troubles du rythme cardiaque (voir altération du sommeil)
1.5.2 Mortalité cardiovasculaire
1.6 Système endocrinien
1.7 Génotoxicité
1.7.1 Atteinte de l’ADN
1.7.2 Altération de l’expression des gènes
1.8 Baisse de la fertilité
1.9 Altération du développement embryonnaire
1.10 Effets des champs électromagnétiques sur la croissance de l’enfant
1.11 Effets des champs électromagnétiques sur la croissance de l’adolescent
1.12 Vieillissement prématuré
1.13 Dépression et fatigue chronique
1.14 L’électrohypersensibilité
1.15 Altération du système osseux : minéralisation asymétrique
1.16 Dermatologie
2 – Les effets perturbateurs du courant électrique : extremely low frequencies fields (ELF)
2.1 Leucémie chez l’enfant
2.2 Troubles cardio-vasculaires
2.3 Cancers
2.4 Neurodégénérescence
2.5 Sclérose latérale amyotrophique (SLA)
2.6 Maladie d’Alzheimer
2.7 Dépression
2.8 Altération de la mémoire
2.9 Immunité
2.10 Effets neurovégétatifs et hématologiques
2.11 Action sur les magnétosomes
2.12 Perturbation du sommeil
2.13 Suicide
3 – Les effets perturbateurs des émetteurs de champs électromagnétiques de hautes fréquences
3.1 Antennes relais de téléphonie mobile
3.2 DECT (téléphone fixe sans fil)
3.3 WiFi
3.4 Compteurs intelligents
3.5 Émetteurs radio et leucémies
3.6 Émetteurs TV et leucémies
3.7 Radars militaires
3. 5. Quelques autres études
(Liens site robin des toits et autres)
Rapport du CSIF-CEM sur les antennes relais de la téléphonie mobile – 08/03/2003
Rapport officiel de l’I.I.T BOMBAY sur des cas mortels exposés aux ondes de la téléphonie mobile – Inde – déc. 2010 « Danger de l’irradiation des téléphones portables et des antennes-relais »
Étude : les téléphones sans fil DECT (et le WiFi) provoquent des irrégularités cardiaques – 23/10/2010
Champs Electromagnétiques et Santé : plus de 900 études indépendantes publiées – EMFacts, Mars 2006
‘Évaluation de l’effet de l’utilisation des téléphones portables sur la fertilité masculine’ – Etude polonaise – 2007
L’exposition passive aux Téléphones portables – Etude japonaise – 2007 OMS : Base de données EMF (Champs électromagnétiques) – Déc. 2006
Le Syndrome des Micro-ondes : une étude préliminaire en Espagne – Navarro EA et al. – Déc. 2003
Syndrome des Micro-Ondes : Nouveaux aspects d’une Etude espagnole – Oberfeld G. et al. 2004
‘Influence de la proximité d’une antenne de téléphonie mobile sur l’incidence des cancers’ – Etude ‘NAILA’ – Avril 2004
Étude allemande : comportement des vaches laitières sous l’influence des CEM – 07/04/2002
Étude : ‘Comment réagissent les gènes au rayonnement de la téléphonie mobile ?’ – 2009
Étude néerlandaise : Le Wi-Fi tuerait les arbres… – Nov. 2010 Le Wi-fi des ordinateurs portables peut endommager l’ADN du sperme – 24/10/2010
Le rayonnement du téléphone portable induit des dommages ADN dans le sperme humain – Juil. 2009
L’UMTS (3 G) induit des effets génotoxiques – Etude autrichienne – Mai 2008
Expériences sur embryons de poulets et de rongeurs – (1998-2006)
Antennes-relais et modification de l’électro-encéphalogramme (EEG) – Oberfeld G. et al. – Avril 2005
3. 6. Electrohypersensibilité : pistes – hypothèses
Electrosensibilité…et détecteur de MARCONI
3. 6.1. Hypothèses des mécanismes
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 3, section 5. L’hypothèse de mécanismes communs, p. 88 : Ce que sont en réalité l’électrohypersensibilité et la sensibilité multiple aux produits chimiques – § 5 :
« L’hypothèse que nous formulons est en effet qu’après une période de réversibilité possible grâce au traitement et à des mesures de protection extrêmement précoces, ces radicaux toxiques seraient à l’origine de la constitution progressive de lésions neuronales irréversibles, impliquant la destruction de certains neurones et circuits neuronaux. Ainsi se constituerait au fil du temps un état d’hypersensibilité pérenne (à la fois électromagnétique et chimique), avant que ne surviennent possiblement dans un deuxième temps, en cas de persistance des expositions environnementales toxiques, une neuropathie dégénérative… ».
3.6.2. Système limbique, thalamus et hypothalamus
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie II, ch. 3, section 6. Implications possibles du système limbique, du thalamus et de l’hypothalamus, p. 89 : « … étant donné que sous traitement et sevrage électromagnétique, nous avons pu constater que simultanément à la régression des symptômes d’intolérance clinique, les anomalies pulsatiles décelées au niveau des lobes temporaux et en particulier au niveau du système limbique et du thalamus se normalisaient, alors que l’hypersensibilité quant à elle, persistait de façon durable, ce résultat conduit à admettre que d’autres régions du cerveau pourraient être impliquées dans la genèse de l’EHS, ou encore que les lésions neuronales induites au niveau temporal bien que n’ayant pas de traduction pulsométrique, seraient permanentes. Ainsi, notre hypothèse aujourd’hui est-elle que la restauration sous traitement des pulsations des diverses régions du cerveau que nous avons analysées ne serait pas suffisante pour supprimer les phénomènes d’hypersensibilité, dont le siège exact demeure en fait encore inconnu ».
3.6.3. Mutations de l’ADN
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie III, ch. 7, section 8. Les mutations de l’ADN sont-elles en cause ? p. 152-153 : « Certains ont vu dans ces résultats apparemment contradictoires, l’existence de problèmes méthologiques et/ou un manque de cohérence dans les résultats obtenus, et donc purement et simplement la preuve que l’effet toxique des champs électromagnétiques non ionisants sur les gènes n’était pas fondé. Ce n’est bien sûr pas le cas. Car on sait maintenant que les champs non ionisants ne font pas qu’entrainer des effets génotoxiques, c’est-à-dire des mutations structurelles au niveau de l’ADN. … ils peuvent aussi déréguler directement l’expression des gènes, sans modifier pour autant la structure de l’ADN, autrement dit sans créer de mutations. Ainsi entre-t-on ici dans le domaine singulier et en partie encore mystérieux de l’épigénétique ».
3.6.4. Épigénétique
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie III, ch. 7, section 9. L’épigénétique en tant que deuxième mécanisme fondamental. p. 154 : « En fait, dans le déclenchement de ces différents types de réponses, en complément des mécanismes impliquant l’ADN en tant qu’antenne fractale, le rôle du stress oxydant ne peut là encore être exclu, puisque les ROS [Radicaux : Reactive oxygen species/espèces oxygénées réactives] interfèrent aussi avec l’ADN, mais ici apparement de façon non spécifique et donc possiblement aléatoire. Ceux-ci pourraient donc aussi contribuer à l’induction de mécanismes épigénétiques, en modifiant comme nous l’avons montré, la structure et la fonction des protéines régulant l’expression des gènes, l’ensembe conribuant finalement en addition des effets toxiques au niveau du génome, à altérer profondèment le métabolisme cellulaire ».
3.6.5. Électroréception et magnétoréception
Extraits du livre : Le livre noir des ondes – Les dangers des technologies sans fil, sous la direction du Pr Dominique BELPOMME, 2020 – Partie IV, ch. 11, Electroréception et magnétoréception, section 2. Magnétorécepteurs, p. 190-191 : « … Son cerveau [l’homme] contient … plusieurs dizaines de millions de cristaux par gramme de tissu … l’hypothèse aujourd’hui est que du point de vue physiologique, les cristaux de magnétite pourraient intervenir dans la mémoire à long terme et le stockage de l’information dans le cerveau. Or point capital, il a aussi été retrouvé dans des cerveaux humains, des cristaux de magnétite riches en fer, dont on a pu trouver l’origine environnementale acquise ». …
Partie IV, ch. 11, Électroréception et magnétoréception, section 3. Qu’en est-il chez l’homme ? p. 191-192 : « … en raison de la présence de magnétosomes dans notre cerveau et les méninges, et des cryptochromes dans la rétine, nous sommes tous à la fois magnétosensibles et électrosensibles, mais sans que nous soyons nécessairement électrohypersensibles… on ne sait pas comment ils interviendraient dans l’augmentation de sensibilité aux ondes électromagnétiques artificielles, et même s’ils interviendraient réellement. Un point semble néanmoins acquis : la possible production de radicaux libres par les cryptochromes, en cas d’exposition à des champs électromagnétiques pulsés de faible intensité.
« En matière d’EHS, le problème se pose en effet pour les magnétosomes comme pour les cryptochromes. La prédominance des magnétosomes dans le système limbique (l’hippocampe) et les méninges pourraient certes rendre compte des anomalies cliniques que nous avons attribuées à ce système (troubles de la mémoire, déficit cognitif, troubles de l’humeur, émotivité, etc.), et à la possibilité d’un syndrome méningé a minima associé (maux de tête, raideur de la nuque, nausées), mais l’effet des champs électromagnétiques sur ces différentes cibles potentielles reste à démontrer. La question serait ici de savoir si le caractère polarisé des champs électromagnétiques artificiels auquel nous sommes soumis, dérégule l’activation de tels magnétosomes, ou même détruit les neurones qui en permettent le fonctionnement avec pour conséquence, l’abaissement du seuil de tolérance, chez les malades devenus électrohypersensibles.
« À cela s’ajoute le fait que l’EHS est souvent associée à une hyperacousie (hypersensibilité aux bruits) et à une ptotophobie dont les mécanismes d’apparition ne sont pas clairs. S’agirait-il d’une anomalie de fonctionnement des cryptochromes, causée par la destruction des circuits neuronaux qui les concernent, ou d’une diminution du nombre de ces récepteurs sous l’effet des champs électromagnétiques ? Des recherches complémentaires sont donc à accomplir dans ce domaine très particulier de la neurophysiologie et de la neuropathologie ».
3.6.6. Dysfonction de l’ion calcium causé par les champs électromagnétiques artificiels
Voir Pollution Électromagnétique 2 : Symptômes et maladies causés par les champs électromagnétiques artificiels.
4. Vidéos
Mise en garde sur les vidéos : Des vidéos font la publicité des CMO. Les CMO sont une fraude totale (Voir “Protections inefficaces pour portables” (6 min) : http://www.santepublique-editions.fr/objects/ProtectionsInefficacesPourPortables.wmv).
Voir aussi : Pollution Électromagnétique 7 : Protection contre les champs électromagnétiques artificiels.
L’électrosensibilité est une véritable maladie physiologique de compatibilité environnementale électromagnétique. Les traitements alternatif du genre « énergétique », etc., (acupuncture, magnétiseur, yoga, etc.), sont une fraude et un exemple de comment le mélange du faux avec ce qui est vrai décrédibilise ce qui est vrai (pour les ignorants), car l’électrosensibilité est vraie, mais les médecines « énergétiques », etc., sont frauduleuses (Voir Discernement des pratiques alternatives de santé).
Électrosensibilité nouvelle maladie (1 h 10)
Vidéos sur les mesures de champs magnétiques Basses Fréquences & Hautes Fréquences des téléphones mobiles, ordinateurs… même éteints, et d’autres sujets sur la santé et les champs électromagnétiques : http://www.santepublique-editions.fr/videos-de-SantePublique-editions-Annie-Lobe-journaliste-scientifique-independante.html
Compteurs communiquants
Stop gazpar linky – « Linky : la tromperie de la mesures des ondes par l’anfr » : http://stopgazparlinkysaintbrieuc.over-blog.com/2018/06/linky-la-tromperie-de-la-mesures-des-ondes-par-l-anfr.html
Voir Compteurs communicants radiatifs
Pr Dominique BELPOMME : les ondes électromagnétiques sont -elles dangereuses 04/07/21 (1 h 12)
5. Sites
Blog pertinent d’un électrosensible : https://electrosensible.info
Ulrich Weiner (EHS) – Infos en français (traduire sur google) : https://ul-we.de/category/beitraege-in-anderen-sprachen/franzosisch/
Chaine de vidéos – electrosensible.info : https://www.youtube.com/channel/UCs0Ln9fJhRNnjZOhg3BSgXw/videos
Appel de 190 chercheurs scientifiques de la communauté internationale CEM auprès de l’OMS et de l’ONU : https://www.emfscientist.org/index.php/emf-scientist-appeal
Electro sensibilité une pathologie nouvelle en constante progression : http://www.champs-electro-magnetiques.com/ondes/electro-sensibilite-une-pathologie-nouvelle-en-constante-progression-47.html
[ANGLAIS] microwavenews.com : Rapport sur les rayonnements non-ionisants
Actualités santé EHS & CEM : https://www.lescitoyenseclaires.org/sante.html#san
Site de l’ARTAC (Pr Belpomme) : ehs-mcs.org
ARIEM Association pour la Recherche Internationale sur l’EHS et le MCS.
6. Alternatives
Norme
La norme à 0, 6 V/m ou 1000 µW/m² (microWatt/mètre carré) demandée par les associations est dix fois trop insuffisante. La norme demandée devrait plutôt être 100 µW/m² (microWatt/mètre carré = densité de flux ou densité de puissance par unité de surface). Pour une personne électrohypersensible, 100 µW/m² c’est intolérable, l’alternative est une zone blanche (il ne reste plus aucune zone blanche, cependant il existe des « poches » ou zones de quelques kms sans champs électromagnétiques hautes fréquences mesurables selon la triangulation des pylones/antennes).
Et pour des personnes EHS (électrohypersensibles véritables) le niveau doit être < 1 µW/m² et même ≤ 0,1 µW/m².
Des champs électromagnétiques basses fréquences apparemment non mesurables peuvent affecter sévèrement une personne électrohypersensible.
Fibre optique
Contrairement aux câbles, la fibre optique est une véritable alternative efficace sans champs électromagnétiques d’ondes artificielles. Mais cette technologie n’a pas été assez déployée par les pouvoirs publics qui ont préféré à la place laisser les industries du sans fil étendre partout leurs CEM artificiels micro-ondes avec leurs faisceaux hertziens (FH), tours hertziennes, pylones d’antennes relais, wifi, etc.
Filaire – ADSL
Le filaire (téléphone à fil, connexion filaire ADSL, etc.) reste une alternative encore valable à condition que l’appareil soit à la terre et sans CPL (Voir : Pollution Électromagnétique 4 : Compteurs communicants radiatifs Linky, Gazpar, Aquarius…).
Pour une personne devenue électrohypersensible, le filaire n’est même plus possible.
Les plaques électriques simples radiantes (non-induction) émettent aussi un fort champ magnétique ≈ 600 nT.
Pour les électrohypersensibles, même un réfrigérateur électrique n’est plus possible : un à gaz est nécessaire : ATTENTION, les gaz brûlés (CO, CO², NO², etc.) doivent être impérativement évacués à l’extérieur sous peine d’intoxication et d’aggravation de l’EHS par MCS associée. Pour un électrohypersensible, même les moteurs thermiques peuvent être intolérables, surtout 2 temps (tronçonneuse, rotofil, …) dont l’allumage émet un fort champ magnétique >2000 nT.
6.1. Electropollution même en filaire et hautes fréquences, insoupçonnées
Attention même en filaire les appareils électriques/électroniques émettent des champs électromagnétiques basses fréquences, mais certains émettent aussi des Hautes Fréquences :
Des ordinateurs portables en filaire émettent des Hautes Fréquences > 2000 µW/m²entre 2, 4 GHz et 6 GHz ! Testé avec un Hewlett Packard dernier cri. Quels autres ?
Des « box » sans Wifi activé émettent des Hautes Fréquences > 1500 µW/m²entre 700 MHz et 2, 7 GHz ! Testé avec une Bbox Bouygues. Quelles autres ?
Un clavier sans fil et une souris sans fil émet des HF !
A suivre
Un téléphone portable en mode avion émet des HF !
A suivre
Un téléphone portable émet des HF rien qu’en faisant défiler le menu
A suivre
Voir aussi : “Votre ordinateur portable comme vous ne l’avez jamais vu : détection des champs magnétiques et des micro-ondes” (12 min) Format flv MPG avi mov © Copyright Annie Lobé, décembre 2018.
A suivre
7. Mensonge public délibéré et ignorance coupable sur l’électrosensibilité
Exemples de mensonge pur et simple
INSERM : «Ondes électromagnétiques : Faut-il craindre la 5G ?» : https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/ondes-electromagnetiques-faut-il-craindre-5g
Science frauduleuse contraire à la réalité. La 4 G aurait due être arrêtée et limitée, les normes abaissées drastiquement d’un facteur 20 000 (vingt mille), et ces gens n’ont pas honte de dire que la 5G ne pose pas de de problème ! Mais les propos mensongers sont contradictoires et flagrants. Détails à venir prochainement.
AFIS science : «SORNETTES SUR INTERNET – Dispositifs anti-ondes : l’argent de la peur» : https://www.pseudo-sciences.org/Dispositifs-anti-ondes-l-argent-de-la-peur
Même s’il est vrai qu’il existe des dispositifs anti-ondes CEM de charlatans sur internet, ces gens sont inexcusables de ne pas justement discerner et dire la vérité sur le danger des CEM artificiels et sur les véritables protections : juste du mensonge déguisé.
Exemple d’ignorance coupable
INRS : Effets des champs électromagnétiques sur la santé, § Hypersensibilité électromagnétique et symptômes non spécifiques : http://www.inrs.fr/risques/champs-electromagnetiques/effets-sante.html
Le mensonge par ignorance n’ôte en rien la culpabilité, car ils ne veulent pas savoir ; s’ils voulaient savoir, ils sauraient.
Exemple de présentation amoindrissant le crédit sur l’électrosensibilité
Sciences et avenir : «TEMOIGNAGES. Electro-hypersensibilité : qui sont ces malades des ondes électromagnétiques ?» : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/temoignages-electro-hypersensibilite-qui-sont-ces-malades-des-ondes-electromagnetiques_29444
Un autre exemple de fraude et mensonge officiel
Le site officiel gouvernemental radiofrequences.gouv.fr/electrohypersensibilite-a9.html nie honteusement et frauduleusement l’électrosensibilité en disant qu’il n’y a pas de preuves scientifiques.
Il suffit de regarder ceci : Effets néfastes des micro-ondes (CEM artificiels) bien connus publiés par l’armée depuis les années 1970 ;
ou ceci : Effets néfastes des CEM artificiels bien connus par l’O.M.S. depuis les années 1970 – Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation ;
ou ceci : Effets néfastes des CEM artificiels bien connus par EDF dans les années 1980 ;
ou ceci : Rapport officiel Bioinitiative (voir plus haut) démontrant que les champs électromagnétiques artificiels affectent la biologie ;
ou ceci : les nombreuses études scientifiques publiées (voir plus haut) démontrant que les champs électromagnétiques artificiels affectent la biologie ;
Pour avoir la preuve qu’on a à faire à des menteurs.
8. Traitements
Se protéger des ondes ElectroMagnétiques artificielles
Aucune protection contre les Champs ElectroMagnétique n’est efficace pour l’ElectroHyperSensible, seule la soustraction aux Champs ElectroMagnétique est efficace.
Pour les mesures de protections voir Pollution électromagnétique – 7 : Protection contre les champs électromagnétiques artificiels
Traiter le cerveau
Voir Pollution électromagnétique – 8 : Traitements contre les effets des champs électromagnétiques artificiels
Consultation de médecine environnementale
Voir Pollution électromagnétique – 8 : Traitements contre les effets des champs électromagnétiques artificiels